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Lundi 11 décembre 2006 :
- CENSURE
INTERNET "EXCLUSIF" : Ce lundi
11 décembre 2006 est à marquer d'une pierre
noire pour les libertés fondamentales en France.
Selon la nouvelle organisation non
gouvernementale française sos-reporters.org présidée
par Pascal Mourot, qui défend la liberté
d'expression et la liberté d'opinion, le
principal moteur de recherche Google.fr a pour la
première fois en France effacé l'affichage de
ses notes en bas des pages où des résultats
sont censurés "en réponse à une demande
légale adressée à Google". Les résultats
concernant par exemple l'affaire François Rebsamen,
"numéro 2" du Parti socialiste,
co-directeur de campagne de Ségolène Royal, censurés
sans aucune décision de justice, le sont encore
plus "insidieusement", cette censure
étant désormais cachée aux internautes.
L'affichage des notes en bas de page a été
supprimée : "En réponse à une demande
légale adressée à Google, nous avons retiré X
résultat(s) de cette page". Dans cette
affaire, la "demande légale" n'émane
pas d'une décision de justice comme cela tend à
le faire croire, mais à une simple appréciation
personnelle de François Rebsamen, armé
d'avocats et d'huissiers, toujours rémunérés
aux frais du contribuable. "Selon que l'on
soit puissant ou misérable", écrivait
Molière. La disparition de cette mention très
gênante pour les censeurs qui, non sans culot,
comme François Rebsamen, défendent
officiellement la liberté d'expression dans des
blogs socialistes, a un double effet pervers.
Sos-reporters.org démontre, preuve à l'appui,
qu'il existe bien une censure réelle de
l'opinion sur Internet. L'ajout de cette mention
de retrait d'un résultat était également un
vrai gage de respect de la part de Google pour
l'Internaute. Le second effet pervers est le fait
de retirer cette note en bas de page, qui tant à
faire croire qu'il n'y a plus de censure.
Pourtant elle est toujours là, mais invisible
pour l'internaute. Les internautes lésés dans
leur recherche, auront aussi remarqué le
dysfonctionnement des liens pointant vers le site
américain ChillingEffect, permettant la
comparaison d'une recherche faite à partir de
l'étranger et d'une recherche française. Dans
le cadre de l'affaire François Rebsamen, la page
permettant de vérifier la censure ne s'ouvre
plus. Sos-reporters proposera un moteur
anti-censure comparant les résultats de
recherche dans le monde entier, à partir de la
France. Rappelons enfin que toutes ces censures
interviennent sous couvert de lutte contre le
"terrorisme", la
"pédophile", etc. dans le cadre de la
loi LEN dite Loi pour la Confiance en l'Economie
Numérique. NDLR. La LEN n'a, à ce jour, servi
qu'aux associations religieuses juives dans
l'affaire Yahoo / Objets nazis ou de l'AAARGH,
association de chercheurs qui publiait des
auteurs jugés antisémites, tel Céline que l'on
retrouve abondamment sur Internet, encyclopédies
comprises ou des recherches sur l'Holocauste.
Recherches dont les plus grands intellectuels
français s'accordent à dire aujourd'hui
qu'elles ne peuvent être réprimées par la loi.
François Rebsamen, célèbre en Europe pour son
mot "barbare" jeté sur l'antenne de la
télévision d'Etat "France 2" à la
face des minorités délinquantes des banlieues
pauvres de l'immigration, demande une
condamnation en justice à Dijon, ville dont il
est le maire, pour "incitation à la haine
raciale" pour avoir simplement écrit :
"François Rebsamen, membre influent de la Communauté
juive et du Grand-Orient
de France". "Que
les 50 000 nouveaux adhérents du Parti
socialiste se rassurent", déclare Pascal
Mourot, François Rebsamen a fait immédiatement
censurer "sos-reporters.org comme le
montre cette copie d'écran du 2 septembre 2006.
Aujourd'hui, si cela n'est plus visible, la
censure est toujours bien là, et les censeurs ne
manquent pas d'arguments. A vos emails !
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