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Vendredi 22 juin 2007 :

POLITIQUE : Ségolène Royal, candidate officielle du PS à l'élection présidentielle de 2007, a affirmé mercredi 19 juin 2007 à Paris, avoir défendu pendant sa campagne des idées auxquelles elle ne croyait pas. Lors de l'émission radiophonique "Question d'info LCP-Le Monde-France Info", Ségolène Royal a reconnu par exemple que le salaire minimum SMIC à 1500 euros et la généralisation des 35 heures n'étaient pas des idées "crédibles". Ségolène Royal a été reçue à l'Elysée jeudi 21 juin 2007 par le Président de la République Nicolas Sarkozy.
 
RACISME : L'avocat général de la cour d'appel de Montpellier a requis jeudi 21 juin 2007 la confirmation de la condamnation pour "injure raciale" du président de la région Languedoc-Roussillon, Georges Frêche, alors membre du Parti socialiste PS, pour avoir traité les Arabes harkis de "sous-hommes" en février 2006. Georges Frêche qui est professeur d’histoire du droit à l'université de Montpellier 1, a remis le 8 novembre 2006 à Ségolène Royal, candidate socialiste à l'élection présidentielle de 2007, la médaille de "citoyenne d'honneur" (photo Frêche-Royal). Les propos contestés de Georges Frêche sont : "Vous êtes allés avec les gaullistes (...) Ils ont massacré les vôtres en Algérie (...). Ils les ont égorgés comme des porcs. Vous faites partie de ces harkis qui ont vocation à être cocus jusqu'à la fin des temps (...). Vous êtes des sous-hommes, vous êtes sans honneur".
 
ANTI-GANG : Le Groupe d'intervention de la Gendarmerie nationale (GIGN) créé en 1974, double ses effectifs actuels soit 200 militaires d'interventions, de protections, d'observations-recherches et d'appuis opérationnels afin de "relever le défi des "menaces nouvelles". Le Groupement d'intervention de la gendarmerie nationale (GSIGN), basé à Satory dans les Yvelines, près de Versailles, compte 380 gendarmes.
 
ANTISEMITISME : Le Conseil représentatif des institutions juives de France CRIF "regrette que le Président Nicolas Sarkozy ait reçu à l'Elysée le mercredi 20 juin 2007, Jean-Marie Le Pen, qui s'est trop souvent illustré par des propos (vidéo) allant à l'encontre des valeurs de la République".
 
POLICE - RAPP : Dans le cadre d'une enquête préliminaire ouverte à la propre initiative des policiers de la Sûreté départementale de Seine-Saint-Denis, le rappeur noir Alibi Montana, auteur du clip "1 260 jours" tourné en 2004, a été arrêté pour interrogatoire. Motif (officiel) de la police : "identifier les figurants armés dans un clip". Alibi Montana dénonce une "société française sécuritaire, manipulée par les médias dont la première chaîne de télévision privée TF1", une France "où l'on y détourne des millions, y compris dans les commissions" et où "la justice corrompue serait réservée au seuls pauvres et immigrés". L'actuel Président de la République Nicolas Sarkozy et le Président américain George Bush ( ! ) y apparaissent avec la mention rouge "Bidon" tandis que le Président du Front National FN, Jean-Marie Le Pen est représenté en tête de porc borgne" sur l'étal d'une charcuterie. Plus de détails : Les nouveaux pouvoirs de police
 
CENSURE 1 : La suppression de l'émission critique "Arrêt sur images" de Daniel Schneidermann sur France 5, l'une des chaînes du Groupe de radios-télévisions d'Etat France télévisions, suscite une polémique. Selon SOS-Reporters.org, les articles relatant "Arrêt sur Images" présenté comme "une émission utile à l'éducation critique et à la culture" ont été "censurés par une suppression pure et simple" en ligne, voire les copies d'écran de France2 "Erreur 404" et de France3 "Erreur 404". "Il faut la maintenir" aurait-on dû lire à propos "d'Arrêt sur images". Sur son blog bigbangblog.net, Daniel Schneidermann, proposerait une pétition, mais SOS-Reporters n'a pu vérifier cette info, le blog étant constamment placé en erreur, voire cette copie d'écran "Fatal error". Daniel Schneidermann se dit "victime d’un coup de balai politique". Daniel Schneidermann, ancien chroniqueur censuré dans le quotidien "Le Monde" avant d'y être renvoyé (Découverte de La face cachée du Monde), est aujourd'hui éditorialiste au quotidien "Libération", journal contrôlé par le Président de France-galop, Edouard de Rothschild.
 
CENSURE 2 : François Rebsamen, maire socialiste de Dijon, (Côte d'Or), est accusé d'une censure sans précédent de plusieurs centaines de pages sur le principal moteur de recherche Google.fr. Les résultats censurés sur plus de 300 pages sont : "Francois Rebsamen + police" ou Dijon ou ( élections ) municipales ou médias ou presse ou photos ou citations ou ville Dijon ou fil info ou communauté ou grand-orient de France ou liberté d'expression ou internet ou censure ou blog ou 2007 ou 2008".



 
 
 

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