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ARCHIVES AUTRICHE MARS 2006

Mercredi 1er mars 2006 : Le directeur de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), dont le siège est à Vienne, Mohamed El Baradei, Prix Nobel de la Paix 2005, a transmis aux Etats membres de l'Agence le dernier rapport sur le nucléaire iranien qui sera examiné par le Conseil des gouverneurs le 6 mars 2006. Mohamed El Baradei a ajouté que "la circulation de ce rapport est restreinte et, à moins que le Conseil des gouverneurs en décide autrement, l'Agence ne peut pas autoriser sa publication".

Vendredi 3 mars 2006 : Ouverture ce vendredi 3 mars 2006 à Vienne, la capitale, d'entretiens entre les représentants de l'Allemagne, la France et la Grande-Bretagne et le négociateur en chef iranien Ali Larijani sur le programme nucléaire de l'Iran. L'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) présenter lundi 6 mars 2006 devant le Conseil des Gouverneurs un rapport pour "déterminer si l’Iran s’est conformé à une demande exprimée le 4 février par l’agence de sûreté nucléaire de l’ONU, de suspendre toutes ses activités liées à l’enrichissement d’uranium".*

Mardi 7 mars 2006 : Mohamed ElBaradei, directeur général de l'Agence Internationale à l'Energie Atomique (AIEA), Prix Nobel de la paix 2005, a présenté lundi 6 mars 2006 son rapport sur le programme nucléaire de l'Iran devant le Conseil des Gouverneurs. Il a regretté que "la question du nucléaire iranien soit toujours aussi floue". Mohamed El-Baradeï a déclaré : "Ce que chacun voudrait voir, c'est un équilibre entre le droit de l'Iran à utiliser l'énergie nucléaire à des fins pacifiques et l'assurance pour la communauté internationale que le programme est bien poursuivi à des fins pacifiques uniquement. Arriver à un équilibre, c'est l'art de la diplomatie créative dans laquelle chacun est engagé aujourd'hui". Ajoutant : "Il y a plusieurs options mais seulement une solution. La seule solution que je vois serait un accord qui couvre la question nucléaire, la question de la sécurité et les questions économiques et politiques, qui sont toutes liées".

Jeudi 9 mars 2006 : Le Conseil des gouverneurs de l'Agence Internationale à l'Energie Atomique (AIEA), réuni mercredi 8 mars 2006 à Vienne la capitale, a décidé, après présentation du rapport de son directeur général Mohamed ElBaradei, Prix Nobel de la paix 2005, sur le programme nucléaire iranien, de transmettre le dossier devant le Conseil de sécurité de l'ONU qui pourra éventuellement prendre des sanctions contre l'Iran. Mohamed ElBaradei, a exhorté les dirigeants occidentaux et iraniens à "baisser le ton" ajoutant que "le Moyen-Orient est très volatile". Le sous-secrétaire d'Etat américain Nicholas Burns a affirmé que la poursuite par l'Iran de son programme nucléaire menaçait "directement les intérêts vitaux américains" et précisé que Washington entendait adopter au Conseil une "approche concertée pour exercer une pression croissante sur l'Iran". Le ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov, s'est déclaré hostile à des sanctions internationales et à une intervention militaire pour contraindre l'Iran à abandonner son programme nucléaire. Un haut responsable iranien a averti que Téhéran infligerait "du mal et des souffrances" en réponse à toute sanction que Washington réussirait à faire adopter à son encontre par le Conseil de sécurité de l'ONU.

Vendredi 17 mars 2006 : Une Conférence à haut niveau de l'Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe (OSCE) sur la lutte contre la traite des êtres humains s'est ouverte vendredi 17 mars 2006 à Vienne en collaboration avec la présidence de l'Union européenne, assurée par l'Autriche. 120 experts de 40 pays aborderont notamment les moyens de combattre la traite des êtres humains, surtout des femmes et des enfants en renforçant les lois en vigueur et les campagnes de prévention. ** Heinz-Christan Strache, chef du parti d'Extrême-droite, FPÖ, qui avait lancé une campagne de signature pour "arrêter les folies de l'Union européenne et sa gabegie" a réussi à réunir 100 000 signatures requises pour permettre l'organisation d'un référendum contre l'Union européenne, contre l'adhésion de la Turquie et contre l'immigration.



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