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LES ARCHIVES 2007 DU GABON

Lundi 21 mai 2007 : Les autorités sanitaires ont annoncé dimanche 20 mai 2007 que, depuis le 14 mai 2007, 2 51 nouveaux cas de contamination par le virus du chikungunya ont été recensés à Libreville la capitale, portant à 7 500 le nombre de personnes atteintes par l'épidémie depuis l'apparition de la maladie, le 11 mai 2007. Les autorités ont entamé mercredi 16 mai 2007 une opération de désinsectisation des quartiers de la capitale et de sa banlieue pour tenter d'enrayer l'épidémie. L'Organisation Mondiale de la Santé (OMS) indique que "le chikungunya est une maladie infectieuse tropicale transmise à l'homme par l'intermédiaire de moustiques contaminés, souvent de l'espèce Aedes aegypti. Le nom de chikungunya signifie en Swahili 'marcher courbé'. La maladie, qui occasionne de fortes douleurs articulaires en particulier aux chevilles et aux poignets, donne aux sujets atteints une posture courbée caractéristique". Cette maladie se traduit également par de fortes fièvres et des céphalées. Rarement mortelle, elle peut persister pendant plusieurs semaines dans l'organisme.

Mercredi 4 juillet 2007 : Jean-Marie Bockel, secrétaire d'Etat français chargé de la Coopération et de la Francophonie, se rendra à Libreville la capitale du 4 au 6 juillet 2007. Il participera le jeudi 5 juillet à la 33ème session ordinaire de l'Assemblée parlementaire de la Francophonie et le vendredi 6 juillet au Conseil des ministres de l'Agence pour la sécurité de la navigation aérienne en Afrique et à Madagascar (ASECNA).

Vendredi 6 juillet 2007 : Le ministre français de l'Immigration, de l'intégration, de l'identité nationale et du co-développement, Brice Hortefeux, et le ministre gabonais des Affaires étrangères, et vice-premier ministre, Jean Ping, ont signé jeudi 5 juillet 2007 à Libreville la capitale, un accord relatif à la gestion concertée des flux migratoires et au co-développement", facilitant notamment les déplacements vers la France et le séjour des salariés ou étudiants gabonais, en portant la durée de leur autorisation provisoire de séjour de 6 à 9 mois. En contrepartie, les Français vivant au Gabon depuis plus de 3 ans ou mariés depuis plus de 3 ans à un(e) Gabonais(e) pourront se voir délivrer une carte de séjour de 5 ans, contre 2 auparavant. Le texte comprend également un accord de "réadmission" par l'Etat d'origine de ses ressortissants en situation irrégulière et prévoit la coopération de la France avec le Gabon dans la lutte contre l'immigration irrégulière, en matière d'état civil et contre la fraude documentaire.

Jeudi 26 juillet 2007 : Dans le cadre du processus de réforme de l'Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO), Jacques Diouf, Directeur général de l'Organisation, a inauguré officiellement mercredi 25 juillet 2007, à Libreville, la capitale, le Bureau sous-régional de la FAO pour l'Afrique centrale. S'adressant au Premier Ministre du Gabon, Jean Eyéghé Ndong et aux nombreuses personnalités politiques et diplomatiques présentes à la cérémonie d'inauguration, Jacques Diouf a déclaré qu'il était convaincu que le Bureau sous-régional à Libreville "répondra aux attentes des pays de l'Afrique centrale et contribuera à notre lutte commune pour atteindre la sécurité alimentaire pour toutes les populations de la sous-région".

Jeudi 2 août 2007 : Un tribunal de Libreville, la capitale, a condamné mercredi 1er août 2007 à 6 mois de prison, dont 5 avec sursis le directeur du journal privé gabonais "L'Espoir", Guy-Christian Mavioga, pour "outrage à chef de l'Etat" à la suite d'un éditorial critique envers le président Omar Bongo Ondimba. "L'Espoir" a été suspendue de parution par le Conseil national de la communication (CNC), l'organe de régulation des médias gabonais, officiellement en raison du statut de fonctionnaire de Guy-Christian Mavioga qui lui interdit de détenir un journal.

Vendredi 14 septembre 2007 : Le Conseil des ministres s'est prononcé vendredi 14 septembre 2007, à l'issue d'un Conseil des ministres, en faveur de l'abolition de la peine de mort, décision prise "à la demande expresse du président de la République" Omar Bongo Ondimba. Le Gabon n'applique plus la peine capitale depuis plus de 20 ans, selon le communiqué du gouvernement.

Mardi 9 octobre 2007 : Le Conseil national de la communication (CNC), organe de régulation des médias, a interdit vendredi 5 octobre la parution du bimensuel satirique panafricain "Gri-Gri international", dont le dernier numéro a été réalisé au Gabon et imprimé à Libreville dans une imprimerie privée, pour non-conformité à la loi gabonaise, ne s'étant pas fait enregistrer auprès des autorités en tant qu'organe de presse. Le bimensuel "La Nation" a été suspendu pour un mois à la suite d'un article contre la ministre de la culture, Blandine Marundu Ma Mihindou, dont le journal critiquait l'action et mettait en doute ses compétences.

Lundi 3 décembre 2007 : Le président Omar Bongo Ondimba (72 ans) , qui s'est converti à l'Islam en 1973, doyen des chefs d'Etat africains, a fêté dimanche 2 décembre 2007, le 40e anniversaire de son arrivée au pouvoir, le 2 décembre 1967. S'exprimant à Libreville la capitale, après un défilé militaire, a déclaré que "l'Etat "aujourd'hui affaibli par l'ethnisme, le clientélisme, l'affairisme, la corruption, la politisation outrancière, qui ont gangrené les pouvoirs publics" affirmant que les "détournements", la "course pour l'enrichissement illicite", la "corruption" et "l'impunité ambiante" dans la haute fonction publique avaient été autant de freins au développement. Omar Bongo a attribué la contre-perfomance gabonaise au reste de la classe dirigeante qui, depuis le retour au multipartisme en 1990, "consacre beaucoup trop de temps à la politique", "au détriment de l'action publique" invitant le premier ministre Jean Eyeghé Ndong à former "le moment venu" une nouvelle équipe "resserrée", plus intègre et plus efficace.




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