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Samedi 3 octobre 2009 : Le directeur général sortant de l'Organisation des Nations Unies pour l'éducation, la science et la culture (UNESCO), Koïchiro Matsuura, a exprimé vendredi 2 octobre 2009 ses inquiétudes pour les libertés civiques au Honduras, à la suite d'un décret présidentiel qui restreint ces libertés pour une période de 45 jours. La Commission nationale des télécommunications a été ainsi autorisée à suspendre tout média qui "porte atteinte à la paix et à l'ordre public" ou qui diffuse des messages qui "offensent la dignité humaine, les fonctionnaires et portent atteinte à la loi et aux décisions gouvernementales". Blogger, webmaster : Conditions d'utilisations Fil-info-France ?

Mardi 6 octobre 2009 : Le décret signé par le président issu du coup d'Etat militaire du 28 juin 2009, Roberto Micheletti, le dimanche 27 septembre 2009 instaurant l'Etat de siège qui restreint pendant une période de 45 jours la liberté de réunion, de circulation et des médias à la suite du retour de Manuel Zelaya Rosalès au Honduras, a été abrogé lundi 5 octobre 2009. Cette mesure avait été réclamée par le président déchu Manuel Zelaya Rosalès pour "pouvoir entamer un dialogue sincère" avec le pouvoir en place et revenir à l'ordre constitutionnel. Ce dernier s'est réfugié dans les bâtiments de l'ambassade du Brésil à Tégucigalpa d'où il a appelé lundi 28 septembre 2009 l'ONU à restaurer l'état de droit dans son pays et à assurer sa sécurité. Blogger, webmaster : Conditions d'utilisations Fil-info-France ?

Samedi 10 octobre 2009 : Les représentants du gouvernement issu du coup d'Etat militaire et ceux du président destitué, Manuel Zelaya Rosalès, ont débuté des négociations pour tenter de sortir le pays de la crise politique menées par le secrétaire général de l'Organisation des Etats américains (OEA), José Miguel Insulza, ainsi qu'une dizaine de ministres et vice-ministres des Affaires étrangères. Aucun consensus n'a pu être trouvé, le président nommé après le coup d'Etat militaire du 28 juin 2009 refusant le retour au pouvoir du président élu, Manuel Zelaya jusqu'à la in de son mandat en 2010. ** Une manifestation regroupant une centaine de partisans du président déchu, Manuel Zelaya, a été réprimée vendredi 9 octobre 2009 à Tégucigalpa la capitale, devant l'hôtel où avaient débuté mercredi 7 octobre 2009 les pourparlers entre les parties en conflit, à coups de gaz lacrymogènes et de canons à eau. Blogger, webmaster : Conditions d'utilisations Fil-info-France ? ** ONU : Le Groupe de travail des Nations Unies sur l'utilisation de mercenaires, a publié vendredi 9 octobre 2009 un communiqué dans lequel il demande "aux autorités du Honduras de prendre toutes les mesures pratiques pour empêcher l'utilisation de mercenaires sur son territoire et qu'elles enquêtent pleinement sur les allégations concernant leur présence et leurs activités". L'ONU a annoncé que près de 40 anciens membres des Autodéfenses Unies de Colombie (AUC, milice d'extrême-droite) ont été engagés par des propriétaires terriens au Honduras pour assurer leur protection et celle de leurs propriétés dans la perspective de nouvelles violences. Blogger, webmaster : Conditions d'utilisations Fil-info-France ?

Jeudi 15 octobre 2009 :
Les représentants du gouvernement de transition et du président déchu José Manuel Zelaya Rosalès sont parvenus à se mettre d'accord sur la mise en place d'une commission d'enquête, qui examinera le coup d'Etat militaire perpétré le 28 juin 2009. Sous la médiation du président du Costa Rica, Oscar Arias, Prix Nobel de la Paix 1987, les 2 parties en conflit ont accepté d'organiser des élections anticipées en novembre 2009 et de former un gouvernement d'union nationale. Manuel Zelaya a renoncé à son projet de modifier la constitution. Aucun consensus n'a été trouvé pour un retour à la présidence jusqu'à la fin de son mandat, le 27 janvier 2010, du président déchu, Manuel Zelaya. Blogger, webmaster : Conditions d'utilisations Fil-info-France ?

Samedi 24 octobre 2009 : Après la menace du président déchu, Manuel Zelaya Rosalès, réfugié dans l'ambassade du Brésil à Tégucigalpa la capitale depuis le 24 septembre 2009, de rompre les discussions avec Roberto Micheletti, président nommé à la suite du coup d'Etat militaire qui l'a destitué le 28 juin 2009, ce dernier a proposé à Manuel Zelaya de renoncer tous les 2 à la présidence "pour sortir de la crise politique" et "ouvrir la voie à un gouvernement de transition et de réconciliation nationale". Les négociations qui avaient reprises le 7 octobre 2009 achoppaient toujours sur la question d'un retour éventuel au pouvoir du président déchu. Blogger, webmaster : Conditions d'utilisations Fil-info-France

Jeudi 29 octobre 2009 :
Le représentant américain pour l'Amérique latine, Thomas Shannon, a rencontré mercredi 28 octobre 2009 à l'ambassade des Etats-Unis à Tégucigalpa la capitale les délégations de la junte au pouvoir et du président déchu Manuel Zelaya afin de relancer les consultations pour sortir de la crise politique dans laquelle est plongé le Honduras à la suite du coup d'Etat militaire qui a destitué le président Manuel Zelaya le 28 juin 2009. Ce dernier est réfugié à l'ambassade du Brésil depuis le 21 septembre 2009, date à laquelle il est revenu clandestinement dans son pays. Il demande à être rétabli dans ses fonctions jusqu'à la fin de son mandat le 27 janvier 2010. Le chef de l'Etat nommé après le putsch, Roberto Micheletti, a convoqué une élection présidentielle pour le 29 novembre 2009. Les pourparlers entre les parties en conflit s'étaient interrompues vendredi 23 octobre 2009 après la proposition de Roberto Micheletti demandant à ce que "tous les 2 renoncent à la présidence "pour sortir de la crise politique" et "ouvrir la voie à un gouvernement de transition et de réconciliation nationale". Blogger, webmaster : Conditions d'utilisations Fil-info-France

Samedi 31 octobre 2009 : Le président nommé à la suite du coup d'Etat du 28 juin 2009, Roberto Micheletti, a indiqué jeudi 29 octobre 2009 qu'il était prêt à accepter le retour au pouvoir du président déchu, José Manuel Zelaya Rosalès, jusqu'à la fin de son mandat le 27 janvier 2010, pour sortir de la crise politique. L'accord prévoit la formation d'un gouvernement de réconciliation nationale pour le jeudi 5 novembre 2009 et le maintien de l'élection présidentielle pour le dimanche 29 novembre 2009. L'accord engage également le président Manuel Zelaya à renoncer à réformer la Constitution, pour pouvoir briguer un second mandat. Manuel Zelaya avait convoqué pour le dimanche 21 juin 2009 un référendum visant à modifier la Constitution et lui permettre de briguer un deuxième mandat présidentiel le 29 novembre 2009. Selon la Constitution en vigueur, le président est élu pour un mandat de 4 ans non renouvelable. Selon le président Zelaya, il est impossible, dans le cadre de la Constitution actuelle, de mener de profondes transformations sociales. Or, il est nécessaire, selon lui, de mettre fin à la misère et aux inégalités et donc d'appeler le peuple à se prononcer. Le Conseil civique des organisations populaires et des peuples autochtones du Honduras (COPINH, Consejo Cívico de Organizaciones Populares e Indígenas de Honduras) avait dénoncé, dans un communiqué, cette tentative de coup d’Etat. Blogger, webmaster : Conditions d'utilisations Fil-info-France




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