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Samedi 18 octobre 2008 : Le Secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-Moon, a remis vendredi 17 octobre 2008 au Conseil de sécurité de l'ONU et à l'Assemblée générale de l'ONU, son rapport sur la situation dans les territoires palestiniens pour la période de septembre 2007 à août 2008. Ban Ki-Moon indique dans son rapport que "malgré les nouvelles perspectives pour régler le conflit israélo-palestinien, engendrées par le processus d'Annapolis", aux Etats-Unis en novembre 2007, "la situation sur le terrain en Israël et dans le territoire palestinien occupé, y compris Jérusalem-Est, demeure difficile et a entravé les efforts politiques visant à concrétiser la vision de 2 Etats vivant côte à côte dans la paix et la sécurité. Dans la Bande de Gaza, en particulier, les actes de violence se sont poursuivis et la crise humanitaire s'est aggravée". Le secrétaire général de l'ONU poursuit : "Il reste beaucoup à faire pour établir les fondements nécessaires à la réussite du processus politique et à l'application durable de tout accord conclu. Les activités d'implantation de colonies doivent cesser entièrement et les restrictions à la circulation et à l'accès doivent être levées. L'Autorité palestinienne doit continuer de s'employer à faire respecter l'ordre public". Ban Ki-Moon a conclu sur la question de Gaza, qui demeure critique, en ces termes : "Je suis heureux que le cessez-le-feu en vigueur depuis juin 2008 ait été respecté jusqu'à présent. Cela étant, je n'ai que trop conscience du fait que le cessez-le-feu est par définition un arrangement temporaire qui doit déboucher sur d'autres mesures, à savoir : réouverture des points de passage de Gaza, libération du caporal Gilad Shalit et dialogue en vue de parvenir à la réunification de la Cisjordanie et de Gaza dans le cadre de l'Autorité palestinienne légitime".

Samedi 25 octobre 2008 : Le Secrétaire général adjoint aux affaires politiques de l'ONU, B. Lynn Pascoe, qui présentait son rapport mensuel devant le Conseil de sécurité de l'ONU, a souhaité mercredi 22 octobre 2008 une intensification d'ici à la fin de l'année 2008 des négociations israélo-palestiniennes selon les objectifs convenus en novembre 2007 lors de la Conférence d'Annapolis, aux Etats-Unis, qui prévoient notamment la création d'un Etat palestinien. B. Lynn Pascoe a indiqué que "les conditions sur le terrain en Cisjordanie doivent s'améliorer de manière significative en respectant les engagements de la Feuille de route". Il a poursuivi : "Le calme doit être "prolongé" dans la Bande de Gaza et l'unité "poursuivie" sous les auspices de l'Egypte. Le secrétaire général adjoint a déploré que la la situation sur le terrain "ne s'améliore pas autant que nécessaire". Il a indiqué qu'au cours du mois écoulé, 7 Palestiniens, dont 2 enfants, ont été tués. Les violences ont également fait 116 blessés côté palestinien et 34 côté israélien. Selon le Bureau de la coordination des affaires humanitaires (OCHA), bien que le gouvernement israélien ait pris des mesures positives en vue de faciliter la circulation des Palestiniens en Cisjordanie, il subsiste actuellement 630 restrictions. La construction du mur israélien dans le Territoire palestinien occupé s'est poursuivie, en dépit de l'avis consultatif de la Cour internationale de Justice (CIJ). B. Lynn Pascoe a également dit n'avoir observé aucun progrès concernant les engagements essentiels pris par Israël en vertu de la Feuille de route et concernant les promesses faites à Annapolis, à savoir le gel des activités de colonisation, la suppression des avant-postes et l'ouverture d'institutions palestiniennes à Jérusalem-Est. ** FOUILLES ARCHEOLOGIQUES A JERUSALEM : Le directeur général de l'UNESCO, Organisation des Nations Unies pour l'éducation, la science et la culture, dont le siège est à Paris en France, Koïchiro Matsuura, a salué mercredi 22 octobre 2008, la décision consensuelle prise par le Conseil exécutif de l'Organisation lors de sa 180e session, de demander aux autorités israéliennes le maintien du gel des fouilles archéologiques sur le site de la rampe des Maghrébins dans la Vieille Ville de Jérusalem, inscrite sur la Liste du patrimoine mondial en 1981 et sur la Liste du patrimoine mondial en péril en 1982. Dans sa décision, le Conseil exécutif de l'UNESCO "demande instamment aux autorités israéliennes d'empêcher toute action susceptible de porter préjudice à l'authenticité et à l'intégrité du patrimoine culturel de la Vieille Ville de Jérusalem et ses remparts". La décision demande aux autorités israéliennes de limiter les "activités archéologiques à des travaux de consolidation et de stabilisation" dans cette zone. Koïchiro Matsuura a conclu : "Ce n'est que sur la base de valeurs communes, et d'une vision partagée de nos devoirs vis-à-vis des générations futures, que nous pourrons faire fructifier ce dialogue. C'est mon voeu le plus cher que cet esprit de consensus présidera également aux débats qui auront lieu à Séville lors de la 33e session du Comité du patrimoine mondial, du 22 au 30 juin 2009". Rappelons que les autorités israéliennes avaient débuté mardi 6 février 2007 des travaux, prévus pour une durée de 8 mois, près de l'Esplanade des Mosquées dans la Vieille Ville de Jérusalem sous occupation israélienne dans le but de construire une rampe d'accès au site. Les communautés musulmanes ont estimé que ces travaux menacent les fondations de l'Esplanade, troisième lieu saint de l'Islam après la Mecque et Medine, qui abrite la mosquée d'al-Aqsa et le Dôme du Rocher. Les Musulmans du Moyen-Orient ont condamné ces fouilles par crainte qu'Israël n'endommage la mosquée Al-Aqsa. Devant les protestations des Musulmans, l'armée israélienne a restreint l'accès au lieu saint et déployé près de 2 000 policiers, sur les lieux, provoquant des heurts. Le dirigeant radical du Mouvement islamique en Israël, Raed Salah, et 6 de ses partisans ont été arrêtés pour avoir tenté d'accéder au site, interdit par l'Etat hébreu. La police israélienne était intervenue, vendredi 9 février 2007 sur l'Esplanade des Mosquées à Jérusalem avec des grenades assourdissantes pour disperser plusieurs centaines de fidèles qui protestaient contre les travaux. Une trentaine de personnes avait été blessée. Devant la colère des Musulmans, le maire de Jérusalem, Uri Lupolianski, avait annoncé lundi 12 février 2007 la suspension des travaux de rénovation près de l'Esplanade des Mosquées dans la Vieille Ville de Jérusalem sous occupation israélienne dans le but de construire une rampe d'accès au site, et qui ont déclenché la colère dans le monde musulman. NDLR. La deuxième Intifada dans les territoires palestiniens avait éclaté en septembre 2000 après une visite sur l'Esplanade des Mosquées de l'ancien premier ministre israélien Ariel Sharon, alors chef de l'opposition " pour affirmer la souveraineté d'Israël sur Jérusalem". L'Autorité Nationale Palestinienne avait accusé le général Sharon d'avoir sciemment "provoqué une guerre religieuse". Lire notre édition du 9 février 2007 (Israël/Palestine)



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