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A lire :


d'Yvonne François

Plan de ville : Accra - Lomé



LES ARCHIVES DU TOGO - MARS 2005 -

Mardi 1er mars 2005 : Dans un communiqué diffusé vendredi soir, après l'annonce de la nomination par l'Assemblée nationale du député Elhadj Abbas Bonfoh pour succéder à Faure Gnassingbé qui avait auparavant présenté sa démission de la présidence de la République, la Communauté économique des Etats d'Afrique de l'Ouest (CEDEAO) a annoncé "qu'elle lèverait immédiatement l'embargo sur les armes et l'interdiction de tout déplacement imposée à la direction togolaise". L'organisation a indiqué "qu'elle oeuvrera avec Lomé en vue d'aider le Togo à devenir un pays stable, démocratique et prospère".

Lundi 14 mars 2005 : Les obsèques nationales du président Gnassingbé Eyadéma, décédé le 5 février 2005, ont été célébrées officiellement dimanche à Lomé en présence de nombreuses personnalités étrangères. Le ministre français des Affaires étrangères Michel Barnier, ainsi que Michel de Bonnecorse, le conseiller pour l'Afrique du président français Jacques Chirac, assisteront aux obsèques. Le commissaire au développement de l'Union européenne (UE) Louis Michel, le président en exercice de l'Union Africaine (UA) le chef de l'Etat nigérian Olusegun Obasanjo, participaient également à la cérémonie.

Jeudi 17 mars 2005 : Harry Olympio, président du Rassemblement pour le soutien à la démocratie et au développement (RSDD), a annoncé mercredi qu'il se présenterait à l'élection présidentielle prévue pour le 24 avril 2005 face à Faure Gnassingbé, fils du président Gnassingbé Eyadéma décédé le 5 février après 38 ans de pouvoir (voir notre édition du 7 février 2005) et a critiqué la désignation par 6 partis de l'opposition dite radicale Emmanuel Akitani Bob, premier vice-président de l'Union des forces du changement (UFC, principal parti de l'opposition), déclarant : "L'opposition traditionnelle (radicale) s'est royalement plantée de candidat. M. Akitani n'est pas l'homme de la situation (...). Il ne peut pas représenter l'opposition plurielle et encore moins la jeunesse".




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