- SOMMAIRE
Cote
d'Ivoire, archives, 2005, cote
ivoire, actualite, monde, guerre, civile, forces
nouvelles, guillaume, soro, operation, licorne,
accords, linas, marcoussis, cedeao, suppression,
carte, sejour, forces, interposition, casques,
bleus, onuci, assassinat, jean, helene,
journaliste, rfi, Théodore Séry Dago, Christian
Baldensperger, journaliste, president, laurent,
gbagbo, premier ministre, seydou diara,
processus, désarmement, accord, accra, accra
III, minuci, refugies, attaque, bouake, soldats,
francais, riposte, armee, francaise, destruction,
flotte, aerienne, ivoirienne, violation,
cessez-le-feu, front, populaire, ivoirien, parti,
pouvoir, laurent, gbagbo, demission, Envoye, ONU,
Cote d'Ivoire, Albert Tevoedjre
Juge en
Côte d'Ivoire : Désarmer la Désarmer la
violence de Épiphane Zoro-Bi
La
restauration du multipartisme
end'Houphouët-Boigny en
Côte-d'Ivoire, ou La double mort
d'Houphouët-Boigny de Diégou
Bailly
- Félix
Houphouët et la Côte-d'Ivoire de Marcel
Amondji
-
- LES ARCHIVES SEPTEMBRE 2005
DE LA COTE D'IVOIRE
- Vendredi 2 septembre 2005 : L'ambassadeur
du Japon, qui assure la présidence du
Conseil de sécurité de l'ONU, Kenzo
Oshima, a indiqué jeudi à la suite de
consultations à huis clos sur
l'évolution de la situation en Côte
d'Ivoire que "les membres du Conseil
de sécurité ont réitéré leur
entière disposition à prendre toutes
les mesures qu'ils estimeront
nécessaires, y compris l'imposition de
sanctions individuelles, en vue d'assurer
le respect des résolutions du Conseil de
sécurité". Le 15 novembre 2004, le
Conseil de sécurité avait adopté la résolution 1572
(2004) qui prévoit des
sanctions individuelles - interdiction de
voyager et gel des avoirs pour
notamment les Ivoiriens qui bloqueraient
le processus de paix.
Lundi
12 septembre 2005 : L'ancien Président Henri Konan Bédié, au
pouvoir en 1993 et jusqu'au 24 décembre 1999
après avoir été renversé par un coup d'Etat
militaire, mené par l'actuel président Laurent Gbagbo, est
arrivé dimanche à Abidjan après un exil d'un
an en France. Il entend présenter sa candidature
à l'élection présidentielle du 30 octobre
2005.
Jeudi
22 septembre 2005 :Le président Laurent Gbagbo a affirmé
mardi à Abidjan qu'il ne négocierait plus avec
l'opposition et la rébellion des Forces nouvelles (FN) pour
régler la crise en Côte d'Ivoire qui perdure
depuis la tentative de coup d'Etat de septembre
2002 et qui a plongé le pays dans la guerre
civile. Dans une lettre adressée au secrétaire
général des Nations unies Kofi Annan et
diffusée sur le site de la présidence
ivoirienne quelques heures auparavant, Laurent
Gbagbo avait déjà annoncé son "rejet par
avance d'une saisine de la CEDEAO
(Communauté économique des Etats d'Afrique de
l'Ouest) sur la Côte d'Ivoire en raison de
l'implication directe de certains pays membres de
cette organisation dans le conflit
ivoirien", sans les citer nommément.
Laurent Gbagbo a ajouté qu'il était
"fatigué" des multiples et vaines
négociations qui ont eu lieu depuis.
- Samedi
24 septembre 2005 : L'ambassadeur de Côte
d'Ivoire à l'ONU, Philippe Djangoné-Bi, a émis
des doutes jeudi sur l'impartialité de la CEDEAO dans la
crise ivoirienne et a appelé le Conseil de sécurité de l'ONU à prendre
ses responsabilités. Selon Philippe
Djangoné-Bi, plusieurs membres de la CEDEAO
"sont impliqués directement dans le conflit
ivoirien" et de ce fait, manquent
d'impartialité.
-
- Jeudi
29 septembre 2005 : Le président Laurent Gbagbo a
déclaré, mardi, dans un message à la Nation
que l'élection présidentielle ne pourrait se
tenir comme prévu le 30 octobre 2005 en raison
de l'absence du désarmement de la rébellion. Il
a de plus réaffirmé qu'il se maintiendrait à
son poste après cette date alors que les
rebelles l'ont appelé à quitter ses fonctions
au terme de son mandat.
Retour
Côte d'Ivoire
Retour
sommaire Côte d'Ivoire 2005
Retour
sommaire
-
-
|
-
QUOTIDIEN
INDEPENDANT
( ! ) Liens en bleu
CONDITIONS
D'UTILISATION
-
|