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FRANCE,
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ELECTION 2012 - Arnaud Montebourg, socialiste, se déclare candidat à la présidentielle : Arnaud Montebourg (photo), avocat, secrétaire à la rénovation au Parti socialiste, député de la 6ème circonscription de Saône-et-Loire, président du Conseil général de Saône-et-Loire, a déclaré, vendredi 19 novembre 2010, à la télévision d'Etat France 2, "être candidat aux primaires du PS en vue de l’élection présidentielle de 2012". "Il y a 2 sortes de candidats, les candidats de gestion, les candidats de transformation, je crois être le seul dans la deuxième catégorie pour l'instant", a précisé le premier candidat socialiste pour 2012. Arnaud Montebourg, conscient de la "désagrégation de la Vème République mais aussi les pratiques scandaleuses qui vont avec", a écrit en 2002 le livre "La machine à trahir". Il aura été le seul homme politique français à demander publiquement la démission du président "corrompu" Jacques Chirac. Après le Congrès de Dijon de 2003, il a été le cofondateur avec Vincent Peillon du courant politique le NPS (Nouveau Parti Socialiste), militant pour une "6ème République". Démissionnaire, il anime le réseau national "Rénover, maintenant". Arnaud Montebourg avait été suspendu de sa fonction de porte-parole de l'équipe de campagne de Ségolène Royal pour les élections présidentielles de 2007. Le 18 janvier 2007, il est suspendu et interdit de médias pendant 1 mois sur demande expresse du co-directeur de campagne François Rebsamen, alors numéro 2 du PS. Arnaud Montebourg avait déclaré le 17 janvier 2007, dans l'émission "Le Grand Journal de la chaîne privée et cryptée Canal+" : "Le seul défaut de la candidate socialiste à la présidentielle est son compagnon François Hollande". Cette même année, Arnaud Montebourg avait accusé Nicolas Sarkozy de "préparer l'institutionnalisation d'une sécurité sociale à plusieurs vitesses". En septembre 2010, Arnaud Montebourg s'attaque à la "toute puissance" de la première chaîne de télévision, TF1, déjà qualifiée en 2002, par le député socialiste Julien Dray, de "TFN", allusion à une télévision de droite favorisant la montée du Front national et de son leader, Jean-Marie Le Pen, arrivé second au premier tour de la présidentielle de 2002, en éliminant le candidat socialiste, Lionel Jospin. Arnaud Montebourg accuse TF1 d'être "la télé de la droite, la télévision des idées qui détruisent la France, la télévision de l'individualisme, la télévision du fric, du matraquage sur la sécurité". Au nom des responsables et éditorialistes de TF1 et de LCI, Etienne Mougeotte, Dominique Wolton, Emmanuel Berretta, François Jost, Daniel Psenny, le Président directeur-général de la chaîne privée, Nonce Paolini, demande des excuses sur ses "propos inadmissibles" au député. En guise de réponse, Arnaud Montebourg refuse, et confirme par un courrier très argumenté, que "TF1 est une "chaîne de tradition délinquante par rapport à ses obligations" inscrites dans son cahier des charges et les amendes reçues. Blogger, webmaster : Conditions d'utilisations Fil-info-France

FRANCE - LIBERTE D'EXPRESSION - Licenciement pour faute grave confirmé pour 3 salariés ayant critiqué leur entreprise sur FaceBook : Le tribunal des Prud'hommes de Boulogne-Billancourt (Hauts-de-Seine), a jugé "fondé" le licenciement pour "faute grave" de 3 salariés de la société de conseil et d'ingénierie SSII Alten, qui avaient utilisé le réseau social Facebook pour dénigrer l'entreprise qualifiée de "club des néfastes". Les dirigeants de la société Alten ont licencié les 3 salariés pour "faute grave", considérant leurs propos comme un "dénigrement de l'entreprise" et une "incitation à la rébellion". Les salariés estimaient que l'échange entre les salariés avait un caractère strictement "privé". L'employeur a fait valoir qu'il n'avait pas "violé la vie privée de ses salariés" dès lors que les injures ont été échangées "sur un site social ouvert" au public. "Les pages mentionnant les propos incriminés constituent un moyen de preuve licite du caractère bien-fondé du licenciement", ont estimé les juges du conseil des Prud'hommes. C'est une "incitation à la rébellion", avait accusé la SSII Alten. Maître Grégory Saint Michel, avocat de 2 salariés, a annoncé faire appel devant la Chambre social de la Cour d’appel de Paris. Blogger, webmaster : Conditions d'utilisations Fil-info-France ?

FRANCE - VIOLATION DE SEPULTURE - PLAINTE A DIJON - François Rebsamen mis en cause par une famille d'ancien combattant : En sa qualité de premier magistrat de la ville de Dijon, François Rebsamen, sénateur-maire et président du Grand Dijon, est visé par une nouvelle plainte fondée sur l'article 225-17 du Nouveau Code Pénal, pour "violation de sépulture". L'atteinte au "respect dû aux morts" a eu lieu en juin 2010, au cimetière de Péjoces à Dijon, créé en 1885 sur 30 hectares, l'un des plus grands de France. Sur la tombe de facture très modeste de cet ancien combattant de Monte Cassino, la croix de bois ornementée de la Vierge Marie, de fabrication artisanale et familiale, pourtant solidement implantée, a été arrachée, démontée et une partie déposée sur une tombe voisine. Lors de "travaux d'embellissement" effectués par une "association locale" sans l'accord de la famille, la tombe s'est retrouvée anonyme, sans nom, sans plaque du souvenir. L'épouse du défunt ancien combattant, 81 ans, opérée du coeur, est très choquée. Plus grave, la tombe semble avoir été relevée comme le soupçonne la famille. "C'est faux", répond le conservateur du cimetière. "Ce qui est étrange, c'est la modification du dôme en terre de la tombe, son relief s'étant étrangement aplani entre le dépôt de la plainte et la Toussaint 2010", déclare le petit-fils, photo à l'appui, Franck Médina. Si le but des "travaux" était l'embellissement, comment expliquer la présence d'herbes folles enracinées autour de la sépulture dont la terre a été retournée ? Et, où sont les restes mortuaires ? "Conformément à la loi, il n'est pas nécessaire de prouver l'intention coupable pour un préjudice moral qui porte gravement atteinte au respect dû aux morts, de surcroît, un ancien combattant", assure le chroniqueur judiciaire Pascal Mourot. L'article 225-17 du Nouveau Code Pénal, en vigueur depuis le 21 décembre 2008, prévoit 1 an d'emprisonnement et 15 000 euros d'amende, la peine étant portée à 2 ans et 30 000 euros d'amende lorsque l'infraction a été accompagnée d'atteinte à l'intégrité du cadavre, ce que doit encore démontrer l'enquête de police, menée par le capitaine Vauris. A Dijon, ville dévoyée à toutes les spéculations, où plusieurs organisations de défense des droits de l'homme accusent le maire, François Rebsamen, d'avoir "vendu son âme", même les morts ne peuvent reposer en paix. Blogger, webmaster : Conditions d'utilisations Fil-info-France ?

FRANCE -
DIPLOMATIE - CENSURE - Le général Michel Aoun accuse Israël d'avoir assassiné Hariri pour faciliter l’implantation des Palestiniens : Impossible de trouver sur Internet un seul média français rapportant cette accusation du général libanais Michel Aoun, prononcée lors de sa visite officielle en France du dimanche 14 au mardi 16 novembre 2010. Cette déclaration a été faite lors d'une rencontre avec l'Association de la presse diplomatique à Paris, mardi 16 novembre 2010 : "Israël a assassiné le 14 février 2005 le président Rafic Hariri afin de déstabiliser la situation au Liban et créer une situation nouvelle qui faciliterait l'implantation des Palestiniens". Elle était précédée d'une sérieuse interrogation du général libanais en visite officielle. S'agissant du TSL le Tribunal spécial pour le Liban, Michel Aoun a déclaré : "Pourquoi Israël est-il resté en dehors de l'enquête alors qu'il est le seul pays à disposer d'une unité, le Mossad, spécialisée dans les assassinats politiques ?" Comme précisé dans l'édition du quotidien international francophone "Fil-info-France" daté du mardi 16 novembre 2010, Michel Aoun, a rencontré lundi 15 novembre 2010 le Président de la République, Nicolas Sarkozy. Il a également été reçu par Bernard Accoyer, président de l'Assemblée nationale et par Gérard Larcher, président du Sénat. Michel Aoun estime que la résolution 1559 de l'ONU constitue "une ingérence étrangère dans les affaires du Liban", affirmant que "le Conseil de sécurité n'est jamais intervenu dans l'intérêt du Liban à différentes occasions au cours desquelles il aurait dû le faire à l'ombre des agressions qui visaient le pays". Plus de détails sur le site francophone "L'Orient-Le Jour". Blogger, webmaster : Conditions d'utilisations Fil-info-France ?



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